-
Après une dure journée de travail aux champs, Décimus rentrait (ce serait sans doute mieux ici le passé simple) chez lui exténué retrouver sa
femme. Caelia était enceinte de 6 mois et à (supprimer le "à"? ) ce stade de la grossesse demandait beaucoup
d'attention. Leur union n'était pas arrangée comme la plupart des couples, non, eux s'aimaient
vraiment d'un amour si fort que les jeunes femmes du village les enviaient.
A quelque mètres de sa maison, il entendit un bruit sourd, prit de peur il se dirigea a toute vitesse
chez lui (préciser, qu'il avait peut-être un curieux pressentiment, avant = ici) . Il aperçut une silhouette d'homme et s'imagina toutes sorte de scénarios dans lesquels sa
femme le trompait ou se faisait agresser. En entrant, prêt à se battre, il fut soulagé de voir son frère
Lucius. Il les questionna sur ce qu'il s'était passé.
J'en entendu un bruit de casse, qu'est-il arrivé ?
Oh, ne t'inquiète pas mon frère, c'est juste moi en passant qui ai fait tomber le
vase.
Je vois que tu es toujours aussi délicat, dit Decimus sur le ton de la moquerie.
Quelle peur ! J'ai cru qu'on en voulait à ma femme. (il faudra introduire les dialogues par une ponctuation adéquate: un grand tiret)
Ne t'inquiète pas ! J'en paierai les frais. Et je ne veux aucun mal à ta femme,
ditil avec un regard insistant vers Caelia.
C'est bon, le moment était venu, il devait tout lui avouer. Lucius avait tout
calculé pour arriver chez son frère avant lui afin de parler en toute discrétion à
Caelia. (il va falloir réécrire ce passage au plus-que-parfait, car c'est un retour en arrière) Il arriva, elle lui ouvrit la porte et lui proposa d'entrer. Caelia aimait
bien la compagnie de Lucius même s'il n'avait pas vraiment un physique
rassurant. Il passait souvent la voir. Il lui restait une bouteille de vin et lui en
proposa un verre. Elle, elle prit du lait. Il se décida.
Caelia ma bellesœur, tu ne te demandes jamais pourquoi je viens si souvent te rendre visite ?
Eh bien non, enfin c'est parce que nous nous entendons bien et que tu aimes ma compagnie n'est
ce pas ?
Oui bien sûr il y a de ça. Mais pas que. Caelia, il faut que je te dise... Je suis fou amoureux de toi,
depuis toujours. Je t'en supplie, pars avec moi, oublie Decimus il n'est pas pour toi.
Qu'ose tu dire ? Jamais ! Vas t'en d'ici je ne veux plus jamais te revoir !
Non ! Je te prendrai de force s'il le faut mais tu viendras avec moi !
Pars tu n'es qu'une affreuse bête ! Tu ne vaux rien et tu finira seul regarde toi !
Lucius fou de rage ne put retenir son impulsivité, il prit le vase à côté de lui et l'éclata par terre.
Caelia resta figée quelques secondes, elle eut juste le temps de ramasser les morceaux puis, la
porte s'ouvrit.Il me semble que tout ce retour en arrière pourrait arriver un peu plus tard...pour ménager le suspens. On pourrait croire le frère dans un premier temps, suivre le mari dans ses doute, puis enfin comprendre que le frère aime la jeune femme en dévoilant ce retour en arrière...
votre commentaire -
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Deux cracheurs de feu et une jeune inconnue ...
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires